Une valeur culturelle de prestige au service de la gestion du patrimoine
C’est parce que l’oeuvre d’art peut s’avérer une excellente solution de diversification patrimoniale, que l’Union Française de Gestion a voulu apporter sa compétence et son expérience dans ce secteur original.
L’activité Œuvres d’Art à l’UFG: une longue expérience au service des patrimoines
Le conseil en Œuvres d’Art est l’une des premières activités de l’UFG. Le département oeuvres d’art bénéficie donc d’un savoir faire indéniable depuis sa création en 1975. En relation avec des experts de renommée nationale et internationale, l’UFG a permis l’acquisition d’un certain nombre d’œuvres pour le compte de plus de 1 500 clients.
En effectuant une sélection rigoureuse de sculptures et de peinturesprésentant un réel intérêt, l’UFG a principalement conseillé des artistes couvrant la période allant du XIXème siècle à la fin de la première moitié du XXème siècle. Souhaitant élargir la gamme des œuvres proposées, l’UFG sera désormais susceptible de promouvoir des œuvres d’artistes flamands et italiens du XVIIème au XVIIIème siècle.
Le département oeuvres d’art établit sa sélection sur deux critères :
- la qualité intrinsèque de l’oeuvre (artiste, école, technique, …)
- son prix (le prix étant rigoureusement analysé d’après des critères financiers, esthétiques et culturels.
Les personnes intéressées par l’achat d’œuvres d’art se composent en général de professions libérales à forts revenus, sensibles à l’aspect culturel, de commerçants soucieux d’anonymat et discrétion dans la transmission de leurs biens, de particuliers soumis à l’ISF qui souhaitent diminuer leur assiette d’imposition et enfin de toute personne désirant diversifier son patrimoine et pour laquelle l’ensemble des solutions traditionnelles a été envisagé.
Pour assurer un véritable suivi, l’UFG assure un service de conservation dans des coffres auprès d’un organisme spécialisé et édite à destination des clients une lettre d’information présentant l’évolution et l’actualité du marché, les innovations fiscales, les expositions à visiter à Paris et en Province, les artistes à fort potentiel…
L’oeuvre d’art : une solution de diversification patrimoniale
Au-delà de son attrait intrinsèque et de ses connotations d’originalité et de prestige, le conseil en oeuvres d’art s’inscrit, tout naturellement, dans le cadre global de la gestion de patrimoine comme outil de diversification souple et doté d’avantages fiscaux notamment à destination des patrimoines importants.
Comme pour tous les biens meublés, l’oeuvre d’art peut faire l’objet d’un don manuel et sa vente en gré à gré n’est assujettie à aucun droit d’enregistrement. Par ailleurs, une récente modification de la loi de finances abaisse à 7 622 euros le seuil de paiement en espèces pour les acquisitions d’œuvres d’art. Les œuvres d’art s’inscrivent enfin dans un cadre fiscal privilégié.
Une exonération d’ISF
Les œuvres d’art font partie des rares secteurs non assujettis à l’Impôt de Solidarité sur la Fortune. Cette disposition fiscale applicable aussi bien aux peintures, dessins, gouaches, aquarelles qu’aux sculptures et aux bronzes, en fait un parfait outil de déplafonnement de l’ISF.
Une fiscalité allégée sur les plus-values
En cas de revente, les œuvres d’art sont soumises à une imposition des plus-values également avantageuse. Le vendeur pourra opter soit pour la taxation forfaitaire de 5 %. Si l’oeuvre d’art est conservée plus de 12 ans, il y a exonération. Si surplus, la plus value est imposée à 32,50 %.
Transmission de patrimoine
La loi » Malraux « permet à des personnes possédant des œuvres d’acquitter certains impôts en remettant une oeuvre d’art à l’Etat. D’autre part, sous certaines conditions, les œuvres d’art peuvent être, en cas de succession, intégrées dans le forfait de 5 % des meubles meublant.
Le marché de l’art en France: une conjoncture en plein mouvement
Après quelques années de crise, le marché de l’art semble aujourd’hui pleinement stabilisé. A l’échelle internationale, une activité importante se manifeste de nouveau et les records commencent à se multiplier.
En France, les promesses de 1999 et 2000 devraient en faire des années charnières dans le domaine du marché de l’art. Les acteurs du marché français sont en effet très attentifs aux transformations législatives liées à la réforme des ventes aux enchères.
Elles devraient permettre à des sociétés commerciales comme Sotheby’s ou Christie’s de pouvoir accéder, en France, à ce mode de négociation ce qui dynamisera de façon sensible les transactions dans ce domaine.
En attendant la réelle transformation du marché consécutif à cette réforme et l’internationalisation progressive de ce secteur d’activité, de nombreuses opportunités peuvent être saisies par des acheteurs éventuels, les prix étant actuellement attractifs.
Par ailleurs, de nombreux observateurs considèrent que l’engouement croissant pour l’art comme bien de consommation, la raréfaction des œuvres de qualité et le dynamisme engendré par l’arrivée des géants anglo-saxons, devraient entraîner dans l’avenir un développement majeur de ce marché et ceci pour une longue période.
C’est donc le moment favorable pour profiter des prix stabilisés et pour effectuer l’acquisition d’œuvres d’art.